Alors que l’hybridation est une injonction politique dans la transformation des pratiques de formation et que la mise en place de l’accompagnement des acteurs impliqués dans la formation supérieure est difficile à mettre en œuvre, nous souhaitons utiliser la notion de supervision de Villemonteix pour analyser un dispositif de l’Amue (Agence de Mutualisation des Universités et des Établissements). À travers cette étude de cas, nous présentons une démarche de professionnalisation des formateurs occasionnels de l’enseignement supérieur. Cette démarche prend appui sur une supervision « douce » des acteurs impliqués (des formateurs non formés (…)