Les MOOC et autres cours en ligne sont apparus depuis 15 ans comme des réponses techniques presque « miraculeuses » face à la massification de l’enseignement en Afrique, le nombre d’inscrits n’étant plus un facteur limitant dès lors qu’il suffit d’une bonne connexion pour suivre une formation. Les infrastructures universitaires, comme le ratio étudiants/enseignant, peuvent ainsi être – au moins partiellement – découplées des dynamiques de croissance démographique, sans nuire à l’efficacité pédagogique recherchée.