Etudiants à l’Ecole de Management Léonard de Vinci. Letitbe/EMLV
En appelant à une « révolution copernicienne », la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a placé la réforme de l’apprentissage sur le terrain culturel et sociétal. Il s’agit d’imposer l’apprentissage, dans l’inconscient collectif, comme une « voie d’excellence » vers l’emploi.
Le souffle que l’exécutif ambitionne de donner à une de ses réformes clés inspirera-t-il les débats qui agitent les régions tout autant que l’ensemble des acteurs du système ?
Besoins en compétences, besoins en formation
On est en droit de s’interroger, au vu des visions essentiellement « (…)