L’évolution des publics et des contraintes dans l’enseignement supérieur conduit à optimiser les dispositifs pédagogiques. La carte conceptuelle devient alors un outil parmi d’autres pour structurer les contenus, faciliter les apprentissages et développer les compétences transverses (collectif). Elément d’hybridation de la classe inversée, l’objectif ici est de dégager les bonnes pratiques et souligner l’intérêt de la démarche.
Mots-clés : Carte conceptuelle, apprentissage, classe inversée, interculturalité, gestion de projet.
Walter Nuninger
Polytech’Lille, Université de Lille 1, Villeneuve d’Ascq, France
walter.nuninger [at] polytech-lille.fr