On pourrait s’attendre à ce que les collégiens et lycéens français, qui ont à leur emploi du temps bien plus d’heures de français que d’arts plastiques ou d’histoire des arts, soient moins à l’aise avec la peinture qu’avec la littérature, très étudiée dès la sixième (et déjà à l’école primaire).
On pourrait notamment s’attendre à ce que, pour une partie d’entre eux, ils soient très démunis voire réticents face la peinture religieuse, dont ils connaissent peu les personnages et les situations qu’elle montre. Et que la peinture abstraite, au sens de celle qui ne représente pas la réalité, les déconcerte.