Imaginez que notre messagerie intègre un compteur calculant son impact écologique, ou un indicateur des ressources naturelles contenues dans notre téléphone ou notre portable. Comme l’agroalimentaire, qui complète le « nutri-score » par un « planet score » ou un « ecoscore », nous pourrions disposer d’indicateurs comparables pour mesurer notre pollution numérique.
Dans un monde où tout se quantifie, cette question apparaît essentielle pour que nous percevions davantage les conséquences de notre utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC), notamment leurs consommations énergétiques.
La dernière étude de (…)