Soirée de parrainage des étudiants étrangers (ici à l’Université de Nantes). Manuel MC/Flickr, CC BY-SA
Une doctorante étrangère reçoit deux pré-rapports de soutenance très négatifs. Cela fait sept ans qu’elle est en France inscrite en thèse et s’exprime dans un français correct. Elle a beaucoup travaillé (de l’aveu même des rapporteurs), son directeur de recherche l’a laissée programmer une soutenance… qui n’aura pas lieu. Le directeur de recherche indique que l’affaire n’est pas rattrapable.
Comment en est-on arrivé à un tel gâchis ?
Au-delà de ce cas douloureux, la question de l’encadrement des doctorants étrangers en lettres et (…)