Une société du care.
Réflexion en trois parties autour des mutations nécessaires pour inventer une société équitable et efficiente de la longévité. Partie III : Démocratie en santé et implication des aidants et des patients comme condition de la réussite de la société du soin.
Il n’apparaît plus possible aujourd’hui, en termes humains, économiques et d’efficacité des soins, de continuer de faire l’impasse sur l’apport des malades et de leurs proches. D’une certaine façon, le nouveau modèle de soin n’a pas fait sa révolution culturelle de prise en compte de la chronicisation des maladies qui implique que les personnes touchées soient (…)