Un article repris du site d’ingénieurs sans frontières, une publication sous licence CC by sa
Si l’idée socratique selon laquelle "une vie sans se poser de question ne vaut pas la peine d’être vécue" est toujours en vigueur, alors il faudrait que quelqu’un mette au courant la plupart des ingénieurs [1]. » Si la provocation de Landgon Winner fait sourire, il n’en reste pas moins qu’elle dérange, tant elle touche juste une profession qui ne sait plus bien pourquoi elle travaille.
D’une part, les ingénieur·es ont oublié leur histoire : de quoi l’ingénieur·e est-il l’héritier⋅ère (culture, fonction, décision) ? A quelle époque naît-iel et (…)