Dans un récent article paru sur The Conversation et consacré au classement PISA, Marie Duru-Bellat a exprimé un certain nombre de critiques et de mises en garde contre des interprétations et généralisations hâtives dont chercheurs et commentateurs devraient se garder. Je partage ces critiques et je n’ai rien à ajouter à cet égard.
Mon propos est ici d’offrir un regard complémentaire pour valoriser ce que sont l’intérêt et le potentiel de ces données dans l’aide à la décision et à l’action publique, en livrant ici une sorte de plaidoyer pour cette enquête internationale.
Un avant et un après PISA
Pourquoi prête-t-on aujourd’hui une (…)