Mesure de l'homme, mesure du bonheur
Description Séance de clôture du cycle "Mesurer la valeur de notre monde ?" conçu à l'initiative de Bettina Laville, présidente de l'IEA de Paris, Conseillère d'Etat honoraire.
Séance en présentiel.
Entrée libre dans la limite des places disponibles, sur inscription (voir formulaire d'inscription en bas de page)
Présentation
Considère-t-on toujours, comme Protagoras, que l’homme est la mesure de toutes choses ? On sait qu’aujourd’hui le poids de l’homme, ou de la vie humaine, doit se concilier avec la mesure de son impact sur la nature, la planète, et que si on ramène la vie à la seule aune humaine, elle n’est pas viable.
Néanmoins, l’homme, en ayant acquis la maitrise de techniques de mesure de plus en plus sophistiquées, veut aussi mesurer sa propre nature, son intelligence, son psychisme, son bonheur… Existe-t-il des indicateurs de vie ? des tests du bonheur ? La mesure de l’homme aujourd’hui, au lieu d’être le fondement d’un humanisme, ne court-elle pas le danger d’une humanité normée ? Autrement dit, quelle marge de libre arbitre nous laisse l’excès de mesure ?
Pour en discuter, Mazarine Pingeot, philosophe et écrivaine, Patrick Viveret, philosophe, conseiller maître honoraire à la Cour des comptes, Claudia Senik, professeure à Sorbonne Université et à Paris School of Economics, directrice du Cepremap, et Olivier Bouin, directeur de la Fondation RFIEA et membre du conseil de coordination de IPSP (International Panel on Social Progress).
Séance animée par Bettina Laville, présidente de l'IEA de Paris, Conseillère d'Etat honoraire, présidente d’honneur du Comité 21.
Séance en présentiel.
Entrée libre dans la limite des places disponibles, sur inscription (voir formulaire d'inscription ci-dessous)
Séance en présentiel.
Entrée libre dans la limite des places disponibles, sur inscription (voir formulaire d'inscription en bas de page)
Présentation
Considère-t-on toujours, comme Protagoras, que l’homme est la mesure de toutes choses ? On sait qu’aujourd’hui le poids de l’homme, ou de la vie humaine, doit se concilier avec la mesure de son impact sur la nature, la planète, et que si on ramène la vie à la seule aune humaine, elle n’est pas viable.
Néanmoins, l’homme, en ayant acquis la maitrise de techniques de mesure de plus en plus sophistiquées, veut aussi mesurer sa propre nature, son intelligence, son psychisme, son bonheur… Existe-t-il des indicateurs de vie ? des tests du bonheur ? La mesure de l’homme aujourd’hui, au lieu d’être le fondement d’un humanisme, ne court-elle pas le danger d’une humanité normée ? Autrement dit, quelle marge de libre arbitre nous laisse l’excès de mesure ?
Pour en discuter, Mazarine Pingeot, philosophe et écrivaine, Patrick Viveret, philosophe, conseiller maître honoraire à la Cour des comptes, Claudia Senik, professeure à Sorbonne Université et à Paris School of Economics, directrice du Cepremap, et Olivier Bouin, directeur de la Fondation RFIEA et membre du conseil de coordination de IPSP (International Panel on Social Progress).
Séance animée par Bettina Laville, présidente de l'IEA de Paris, Conseillère d'Etat honoraire, présidente d’honneur du Comité 21.
Séance en présentiel.
Entrée libre dans la limite des places disponibles, sur inscription (voir formulaire d'inscription ci-dessous)
Début de l'événement 27.05.2024 - 18:00
Fin de l'événement 27.05.2024 - 19:30
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