Un articledeYadoho Noel Coulibaly, Amon Kassi Holo, Bi Sehi Antoine Mian repris de la revue adjectif, une publication sous liecence CC by sa
Introduction
Face au nombre grandissant de diplômés sans emploi dans nos pays, les Universités sont accusées de dispenser des enseignements trop théoriques qui ne préparent pas les étudiants au monde du travail. Il se pose dès lors le problème de l’adéquation formation/emploi (Angan, 2015). Aujourd’hui de plus en plus d’universités intègrent progressivement des formations professionnalisantes dans leur cursus, avec le stage qui apparait comme un élément catalyseur de cette professionnalisation. Le système LMD vient institutionnaliser cette pratique du stage dans les curricula des formations universitaires. Et pourtant, l’obtention d’un stage est une gageure pour les étudiants et reste un souci à la fois pour eux, pour les établissements d’enseignement que pour les pouvoirs publics.
C’est dans cette optique que le gouvernement ivoirien a pris l’initiative en offrant des postes de stage à 225 000 jeunes ivoiriens en vue de leur permettre de valider leur diplôme et d’acquérir une expérience [1].
Pour répondre à cette préoccupation relative à l’obtention et à la gestion des stages, l’Université Virtuelle de Côte d’Ivoire, a quant à elle, développé un dispositif électronique, basé sur une plateforme de e-stage.
Après une première année d’utilisation de ce dispositif, nous voulons comprendre son fonctionnement et les appréciations que les étudiants et les encadreurs en font.
Eléments de contexte
Professionnalisation de la formation
Dans la volonté de former une main d’œuvre qualifiée et opérationnelle pour répondre à la demande du monde des entreprises, certaines universités publiques ivoiriennes ont déjà entrepris la professionnalisation de leur formation destinée au secteur privé. C’est le cas de la Licence des Sciences et Techniques Comptables et Financières (LSTCF) ; Licence en Marketing et Vente (LMV), Licence en Management des Organisations (LMO), de la formation MSTCF (Maîtrise des Sciences et Techniques Comptables et Financières) à l’Université Félix Houphouët Boigny (UFHB) de Côte d’Ivoire, des formations MIAGE (Méthodes Informatiques Appliquées à la Gestion des Entreprises) de l’UFHB et de l’Université Nagui Abrogoua (UNA) de Côte d’Ivoire.
Le caractère novateur de ces formations, conçues pour répondre aux besoins des entreprises en ressources humaines est d’ajouter une touche pratique avec la réalisation de stage en entreprise par les étudiants.
L’Université Virtuelle de Côte d’Ivoire (UVCI), dernière-née des universités ivoiriennes, a vu son décret de création signé en décembre 2015. Née après 2012, date de la migration des universités ivoiriennes dans le système LMD, l’UVCI pratique de facto cette nouvelle architecture des diplômes avec la création de Licence et de Master professionnels. Le stage étant un élément important de cette formation, présenté comme un moyen d’acquisition de compétences complémentaires à celles obtenues en situation de classe (Giret et Issehnane, 2012).
Cadre théorique
La notion de stage
Le guide des stagiaires du Ministère français de l’Education Nationale de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche définit le stage comme une période temporaire de mise en situation professionnelle (MENESR, Mai 2015). Selon Richard (2017), il existe trois types de stage en fonction de la durée, variant de quatre semaines à six mois. Le stage d’observation ou d’exploitation dont la durée est courte, le stage d’immersion relativement longue et celui qualifié d’intervention ou d’intégration, plus longue.
En Côte d’Ivoire, la question de stage est régie par le code du travail [2] qui fait mention du contrat stage-école et qui stipule que les stages se déroulent sur des périodes temporaires et consistent en des mises en situation de travail, au cours desquelles l’apprenant acquiert des compétences professionnelles et met en œuvre les acquis de sa formation en vue d’obtenir un diplôme ou un certificat afin de favoriser son insertion professionnelle (Journal Officiel de la république de Côte d’Ivoire, no 74 du 14 Septembre 2015) [3].
Il ressort de ces définitions, que le stage est une mise en activité d’un élève ou d’un étudiant, sur une durée définie et au sein d’une entreprise, pour faciliter son immersion ou intégration dans l’entreprise.
Bref historique du stage
Selon Barbusse, Glaymann, Grima et Glaymann (2014), la pratique de stage a été observée il y a plusieurs années déjà dans l’enseignement supérieur, notamment dans la formation des enseignants, des médecins et des ingénieurs, puis l’on a connu une généralisation et une imposition au niveau d’autres formations comme les BTS, les DUT afin de répondre à l’adéquation emploi/formation.
Pour Giret et Issehnane (2012), la réforme Licence - Master - Doctorat (LMD) a engendré la création d’une multiplicité de filières professionnelles dans les universités tant publiques que privées en touchant un public plus large et positionnant, du coup, le stage comme une condition sine qua non de professionnalisation d’une filière. On assiste dès lors, d’une part, à l’abandon des BAC+2 au profit des Licences professionnelles, d’autre part, des Maîtrises et DESS pour des Masters professionnels (Agulhon, 2007).
Problématique
Une institutionnalisation du stage s’est faite dans les curricula des formations universitaires (Béduwé, Cahuzac, 1997 ; Glaymann, 2015), présentant le stage comme la panacée face aux difficultés d’insertion professionnelle des jeunes diplômés du supérieur. Or le nombre d’apprenants accédant à l’enseignement supérieur est de plus en plus élevé avec un taux de réussite au baccalauréat qui a pratiquement doublé dans les dix dernières années en Côte d’Ivoire, passant ainsi de 24,50% en 2010 à 41,23% en 2019, correspondant à 107.897 nouveaux étudiants susceptibles d’accéder au supérieur (MENCI, Juillet 2019). Plusieurs questions se posent : Comment et où trouver des stages pour tous ces étudiants ? Comment peut-on gérer efficacement les stages à l’ère du numérique ? Comment peut-on encadrer les étudiants stagiaires à distance ? Comment permettre aux étudiants de trouver un stage à proximité de leur lieu de résidence ?
Certains auteurs ont tenté de répondre à certaines de ces interrogations concernant la gestion à distance des stages. Karsenti et al (2005) ont mis en place un dispositif technopédagogique pour l’encadrement et la supervision de 4000 stagiaires et enseignants dont l’un des objectifs était de développer et de mettre en place un système favorisant la communication et la collaboration, tant entre les stagiaires et les superviseurs, qu’entre les stagiaires eux-mêmes.
Souley (2016) a suggéré une idée de développement d’une application e-Stage qui permettrait d’effectuer des stages certifiés à distance dans des sociétés [4]. Quant à Sébastien Richard (2017), il a publié un guide sur la supervision des stages à distance via le courriel, le téléphone, le portfolio numérique et les Environnements Numériques d’Apprentissage (ENA).
C’est dans cette perspective, et pour répondre aux préoccupations évoquées plus haut, que l’Université Virtuelle de Côte d’Ivoire a également développé un dispositif construit autour du numérique pour la recherche et la gestion des stages. Comment ce dispositif fonctionne-t-il ? Quelles perceptions les utilisateurs en ont-ils ?
Méthodologie
Pour répondre aux interrogations susmentionnées, nous avons recueilli le point de vue des différents acteurs. Deux questionnaires ont été construits à cette fin en utilisant l’application Google forms, adressés par mail à une population de 830 étudiants stagiaires de licence 3 de l’Univerisité Virtuelle de Côte d’Ivoire et à 24 encadreurs qui sont les tuteurs en ligne de ladite institution. 160 étudiants (19%) et 19 encadreurs (79%) ont répondu aux questionnaires. Nous avons également effectué un entretien avec l’administrateur du dispositif nous permettant de recueillir des informations complémentaires. Les données recueillies par questionnaire ont été traitées quantitativement et celles obtenues par entretien ont fait l’objet d’un traitement qualitatif.
Les informations récoltées portent sur le dispositif technique mis en place et sur les activités effectuées. D’une part, le formulaire adressé aux étudiants visait à recueillir leurs appréciations concernant le rapport de stage, l’encadrement, la plateforme e-stage dans le processus de recherche de stage, et la plateforme campus licence 3 servant au dépôt des activités, à l’évaluation, à la gestion des feedbacks. D’autre part, celui adressé aux encadreurs s’intéressait aux mêmes éléments que précédemment en plus des outils de communications dont la messagerie Gmail et Hangouts pour permettre à l’encadreur d’échanger avec ses étudiants. Enfin, l’entretien réalisé avec le gestionnaire de la plateforme e-stage avait pour objectif de comprendre le fonctionnement du dispositif, de relever ses impressions et critiques.
Résultats
L’entretien réalisé et l’exploitation des questionnaires, nous ont permis de mieux comprendre le fonctionnement du dispositif e-stage et d’étudier les perceptions des différents intervenants.
Le fonctionnement du dispositif e- stage de l’UVCI
Le dispositif technique
Le dispositif technique de stage est constitué de différents outils : deux plateformes, l’une pour la gestion de stage dénommée e-stage, l’autre, Campus-Licence 3 qui est un espace de cours Moodle servant de dépôt et d’évaluation des rapports de stage. Nous avons également la messagerie Gmail pour la communication par mails et l’application Hangouts pour les échanges par tchats.
La plateforme e-stage a été développée par des étudiants de l’Université Virtuelle de Côte d’Ivoire. Elle a pour objectif de répertorier et d’enregistrer les entreprises partenaire et de favoriser les échanges entre les différents acteurs qui sont les stagiaires, les encadreurs (les tuteurs en ligne de l’UVCI), les maîtres de stage au sein des entreprises.
Le processus de sélection des stagiaires s’effectue via ladite plateforme. L’entreprise désireuse d’offrir des postes de stage s’enregistre sur la plateforme en définissant le profil de stagiaire souhaité, le nombre de stagiaires et la durée du stage. Cette offre est rendue publique par le gestionnaire de la plateforme et visible par tous les étudiants qui vont ensuite postuler à l’offre s’ils le désirent en joignant une lettre de motivation et un CV. L’entreprise peut se connecter, voir les postulants et faire la sélection de ceux qui peuvent occuper le poste pour ensuite les auditionner et retenir ceux qui l’intéressent. Les stagiaires retenus peuvent automatiquement télécharger leur convention de stage, la signer et la faire valider par un responsable de l’entreprise puis la scanner et la déposer sur la plateforme e-stage. L’UVCI considère à partir de ce document que l’étudiant est officiellement en stage dans ladite entreprise. L’image ci-dessous montre la page d’accueil de la plateforme e-stage.
Figure 1 : page d’accueil de la plateforme e-stage
Concernant la plateforme Campus Licence 3, il s’agit d’une plateforme Moodle permettant aux stagiaires de déposer au fur et à mesure, des parties de leur rapport sous forme de rendu de devoir pour une évaluation formative en recevant en retour des feedbacks de la part des encadreurs et ensuite une notation définitive de l’intégralité du rapport. Il permet également une gestion automatisée des notes. Nous montrons ci-après la page d’accueil de la plateforme de cours et de dépôt de documents Campus Licence 3.
Figure 2 : page d’accueil de la plateforme de cours et de dépôt campus licence 3
La messagerie Gmail apparait dans ce dispositif comme le porte-voix de tout acteur voulant prendre la parole. Il permet à tous les acteurs de pouvoir communiquer à tout moment. Quant à l’application de tchat Hangouts intégrée à la plateforme de messagerie Gmail, elle est utilisée par chaque encadreur et ses stagiaires pour des échanges synchrones en organisant des discussions individuelles dans un espace privé, des classes virtuelles avec tout ou une partie de ses stagiaires.
Les acteurs impliqués dans la mise en stage
Le code du travail en Côte d’Ivoire indique que, outre le stagiaire lui-même, deux autres acteurs que sont le maître de stage et l’encadreur référent interviennent dans la mise en stage.
Comme Béduwé et Cahuzac (1997) qui définissent quatre publics d’étudiants (étudiants classiques - salariés étudiants - étudiants salariés - abandon), nous établissons une catégorisation des étudiants de l’UVCI. En effet, le dispositif de formation étant à plus de 80% à distance, il offre la possibilité aux auditeurs d’exercer une activité professionnelle tout en suivant les cours. Ainsi, nous distinguons trois catégories d’étudiants :
– L’étudiant salarié exerçant dans une structure formelle tout en suivant les cours à distance. Il a la possibilité d’effectuer son stage dans ladite structure.
– L’étudiant-entrepreneur, travaillant pour son compte, peut choisir dans le cadre de son stage, un projet entrepreneurial en lieu et place d’un stage conventionnel comme prévu dans le cadre du cursus de formation (Guide des stages étudiant du MENESR, Mai 2015).
– L’étudiant classique, typique qui n’appartient à aucune des deux catégories citées précédemment. Celui-ci se consacre exclusivement à ses études et est intéressé par un stage en entreprise. A défaut, il travaillera sur un thème qu’il choisit librement. L’encadreur est très impliqué dans l’encadrement quotidien des étudiants. Ce dernier suit le stagiaire ou propose une redéfinition de ses activités en lien avec l’entreprise d’accueil. En ce qui concerne le Maître de stage, il travaille au sein de l’entreprise, chargé de l’accompagnement du stagiaire dans l’entreprise.
Appréciations du dispositif par les acteurs
La plateforme e-stage et Campus Licence 3
48% des étudiants ont trouvé la plateforme e-stage simple d’usage mais sont seulement 15% à juger qu’elle facilite l’ouverture sur les entreprises et l’obtention de stage. Un peu plus de 50% ont affirmé n’avoir éprouvé aucune difficulté pour le dépôt des fichiers relatifs au dépôt de documents sur campus. La moitié d’entre eux ont affirmé que les feedbacks de leur encadreur étaient accessibles, leur permettant d’améliorer leur production. Seuls 11% des étudiants souhaiteraient utiliser un autre outil comme Google Document pour soumettre leur rapport pour évaluation.
En ce qui concerne les encadreurs, les ¾ sont satisfaits de l’usage de la plateforme qui leur a facilité l’évaluation des productions des étudiants. Ils n’ont pas eu besoin de se déplacer pour récupérer ces productions.
L’encadrement avec les outils de Communication
Tous les encadreurs disent avoir communiqué avec leurs étudiants par mail. La messagerie Gmail et l’application Hangouts pour les rencontres synchrones, ont été des canaux de communication privilégiés pour les différents acteurs. L’usage de Hangouts a été crucial dans l’encadrement des étudiants et dans le partage d’expérience entre étudiants.
71% des étudiants ont jugé que le découpage du rapport de stage en différentes parties leur a facilité la rédaction.
Discussion
Nous voudrons d’emblée souligner les limites des résultats obtenus en termes d’appréciations du dispositif par les étudiants. Nous observons que peu d’entre eux (19%) ont répondu au questionnaire. Un échantillon peu représentatif ne permettant pas d’apprécier ces résultats à leur juste valeur.
Cette étude, comme bien d’autres, montre que l’importance des stages dans les formations universitaires a vu l’utilisation progressive des TIC soit pour étendre la communication entre les stagiaires (Mian Bi, 2018) soit pour faciliter l’encadrement du stagiaire par l’encadreur (Richard, 2017 ; Banville et Saint-Pierre, 1999).
Dans le cadre des stages d’immersion de l’Université Virtuelle de Côte d’Ivoire, un dispositif électronique d’encadrement des stages a fait appel de manière simultané à un outil de communication via internet, une plateforme de formation et une application de gestion des données de stagiaire. Ces éléments se retrouvent dans le dispositif décrit par Richard (2017). Il définit plusieurs moyens technologiques tels que les logiciels audio-vidéos via internet, les environnements numériques d’apprentissage, le courriel et téléphone et le portfolio électronique, nécessaires pour l’encadrement à distance d’un stagiaire en fonction du type de stage. Selon l’auteur, le choix des outils d’encadrement du stagiaire est fonction du type de stage.
De même, l’application Stage virtuelle (Banville et Saint-Pierre, 1999) visait à créer, par l’intermédiaire d’Internet, une mise en situation réaliste pour compenser, dans une certaine mesure, l’absence de stage traditionnel. Dans la pratique, cette application mettait en communication des élèves et des entreprises par le biais d’internet. Les tâches à réaliser et les directives étaient définies par l’entreprise avec la supervision de l’encadreur et transmises à l’apprenant par courrier électronique.
Que ce soit dans le dispositif décrit par les auteurs cités plus haut, ou celui de l’Université Virtuelle de Côte d’Ivoire, il ressort que les outils des technologies de l’Information et de la communication en l’occurrence internet sont le cœur d’un dispositif de stage en ligne. Dans ces conditions, toutes les communications se font par courriel et bien d’autres outils tels que les forums, les chats et le téléphone. Ce qui permet à l’étudiant de réaliser des tâches pour le compte d’une entreprise sans y être physiquement présent.
Mais un tel dispositif peut se trouver confronté à certaines difficultés, notamment le manque de maitrise de l’outil informatique de la part de certains acteurs du dispositif.
Conclusion et perspectives
Cette recherche exploratoire nous a permis d’étudier le dispositif mis en place par l’Université Virtuelle de Côte d’Ivoire qui a donné la possibilité à un certain nombre d’étudiants d’avoir accès à un stage et de pouvoir gérer efficacement l’encadrement de tous les stagiaires par le biais d’outils technologiques. Le dispositif, d’une part, a répertorié, pour une première année d’utilisation, un nombre relativement important d’entreprises (99) et à favoriser une gestion efficace du stage, il d’autre part, a constitué une base de données grâce au dépôt des rapports de stage. Mais nous pensons que la création d’un portail web qui intégrerait l’ensemble des outils de ce dispositif, faciliterait son usage. Il s’agira de mettre en place une seule application web qui intègre la plateforme e-stage elle-même, les outils de communication (messagerie, tchat, forum) et un outil d’évaluation des stagiaires. Pour un usage optimal de toutes ses ressources, nous pensons dans l’avenir à former tous les acteurs qui n’ont pas une bonne maîtrise des outils de communication.
Références bibliographiques
Agulhon, C. (2007), « La professionnalisation à l’Université, une réponse à la demande sociale ? », Recherche et formation No. 54, 2007
Angan N. (2015). De l’adéquation formation-emploi, à l’employabilité des diplômes. Repéré en ligne à : https://narcisse.mondoblog.org/2015/03/17/de-ladequation-formation-emploi-a-lemployabilite-des-diplomes/
Barbusse, B., Glaymann, D. et Grima F (2007). Les stages étudiants peuvent-ils contribuer à sécuriser les parcours professionnels dans la phase d’insertion ? Université d’Orléans, juillet 2007. 223-232. http://lipha.u-pec.fr/medias/fichier/article-stages-cereq-juil07_1279977016356.pdf?ID_FICHE=214193&INLINE=FALSE
Béduwé, C. et Cahuzac, É. (1997). Première expérience professionnelle avant le diplôme. Quelle insertion pour les étudiants de second cycle universitaire ?. Dans : Formation Emploi. N.58, 1997. Numéro spécial : enseignement supérieur et trajectoires étudiantes. pp. 89-108 ;
Giret, J-F. et Issehnane S. (2012). « L’effet de la qualité des stages sur l’insertion professionnelle des diplômés de l’enseignement supérieur », Formation emploi No. 117, 2012
Glaymann, D. (2015). Quels effets de l’inflation des stages dans l’enseignement supérieur ? Dans Formation emploi 2015/1 (n° 129) https://journals.openedition.org/formationemploi/4340https://journals.openedition.org/formationemploi/4340
Glaymann, D. (2014). « Le stage dans l’enseignement supérieur, un dispositif riche de promesses difficiles à tenir », Éducation et socialisation No. 35, 2014 https://journals.openedition.org/edso/714
Holo, Mian et Coulibaly (2019). L’encadrement des étudiants dans le dispositif de formations ouvertes et à distance de l’Université Virtuelle de Côte d’Ivoire, dans la revue Educational Journal of the University of Patras UNESCO Chair, 9 P. Récupéré le 11 avril 2020 du site :
https://ejupunescochair.library.upatras.gr/ejupUNESCOchair/article/view/3101/3422
Karsenti, T., Colette, G., Lepage, M., Villeneuve, S., Williams, M., (2005). Mise en place d’un dispositif technopédagogique favorisant l’encadrement et la supervision de 4000 stagiaires et enseignants associés de la Faculté des sciences de l’Université de Montréal. https://www.academia.edu/6456957/Mise_en_place_d_un_dispositif_technop%C3%
Marcel Banville, M. et Michel L. St-Pierre. (1999). Stage virtuelle en technologie de l’architecture. https://cdc.qc.ca/parea/banville_saint_pierre_rimouski_PAREA_1999.pdf
Richard, S. (2017). Guide sur la supervision de stage à distance. https://www.fadio.net/wp-content/uploads/2018/04/FADIO-Guide-supervision-distance.logo_.pdf
_
[1] http://www.gouv.ci/_actualite-article.php?recordID=10571
[2] articles 13.11, 13.12 et 13.13 de La loi no 2015-532 du 20 juillet 2015 du code du travail, http://hse-ci.com/loi-n2015-532-portant-code-travail-ivoirien/
[3] https://www.ilo.org/dyn/natlex/docs/SERIAL/101399/122148/F1155339142/CIV-101399.pdf
[4] plateforme d’innovation participative et un tremplin pour les entrepreneurs (orange)https://imagine.orange.com/fr/ideas/bonheur-travail-fr/idea/show/2156
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