Il y a un peu plus de deux ans j’ai démarré l’écriture d’un ouvrage sur la stigmergie sous la forme d’un livre-blog dont les chapitres sont publiés au fur et à mesure. Après plus de deux ans de silence, voici le quatrième chapitre qui rentre enfin dans l’étude de la stigmergie. Deux ans d’absence en grande partie liée au confinement qui m’a obligé à focaliser uniquement sur les projets rémunérés, mais aussi à la complexité du sujet à traiter.
Pour vous donner envie de lire, voici les titres de sections de ce chapitre :
- L’intelligence collective des insectes sociaux
- Comment coordonner des millions d’individus ?
- Processus de construction d’une termitière.
- Processus de recherche de nourriture chez les fourmis.
- Comment la stigmergie résout-elle le problème de la coordination ?
- La stigmergie existe aussi chez les humains : l’exemple des chemins tracés par l’usage
- Les communautés du libre produisent des artefacts complexes en utilisant la stigmergie
- Linux, la vedette du logiciel libre
- Ushahidi, la plateforme de cartographie participative
- Wikipédia, l’encyclopédie en mode fourmilière
- La coopération à grande échelle des projets du libre utilise la stigmergie et la coordination indirecte
- La coordination indirecte induit un changement fondamental
- L’importance de réduire les frictions de coordination dans les grands groupes
- Comment la stigmergie réduit les frictions de coordination
- Stigmergie, intelligence collective et auto-organisation : un phénomène complexe
Lire le chapitre 4. L’autoorganisation dans les grands groupes : le modèle stigmergique
Ce chapitre fait suite aux autres précédemment publiés
- 0. Préambule : Un processus d’écriture ouverte
- 1. Introduction : la fin d’un monde
- 2. La coopération dans les petits groupes
- 3. La coordination dans les grand groupes : explorer la pyramide
bonne lecture !
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